Maison témoin à Hansbeke.

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Les consultants Karen Deprez et Pascal Van De Keere nous expliquent leur passion pour Mi Casa.

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Les consultants Karen Deprez et Pascal Van De Keere nous expliquent leur passion pour Mi Casa.

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La construction en bois est intemporelle. Il y a des avantages indéniables en termes d'isolation, d'économie de surface et de durabilité, mais le plus grand atout est la sensation de chaleur omniprésente dans la maison. Le fait que de nombreux employés et sous-traitants aient construit leur propre maison Mi Casa - une quinzaine au total – montre bien que nous sommes convaincus de notre produit. Il en va de même pour nos consultants Karen Deprez et Pascal Van De Keere. "Pour nous, ce sont les détails qui font tout. Tout doit être parfait."

Non seulement vous vendez des maisons Mi Casa, mais vous aussi, vous vivez dans l’une de nos maisons.
Karen : "Quand je rentre à la maison, c'est comme si j’étais soudain enveloppée dans une couverture douillette. Il faut visiter une maison Mi Casa (maison témoin) pour le comprendre. On pourrait comparer ce phénomène à cette métaphore : remplacez le carrelage d’une maison par du parquet et celle-ci devient immédiatement plus chaleureuse. Imaginez ensuite un instant que toute votre maison soit en bois. Alors vous comprenez automatiquement l’origine de cette belle apparence."
Pascal : "Ajoutez à cela le fait que nos maisons sont intemporelles. Mi Casa résiste merveilleusement bien à l'épreuve du temps. Si l'on compare une maison Mi Casa de 20 ans avec une maison traditionnelle de 20 ans également, on pourrait apposer le panneau "à rafraîchir" sur cette dernière.
Karen : "Ma maison est construite depuis 2007. Cela fait quinze ans, mais quand les gens viennent chez nous pour la première fois, on me dit encore souvent : "Ah, c'est une nouvelle construction ici ? Donc, le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elle est intemporelle."

Une maison Mi Casa était donc probablement un choix logique vu que vous travailliez déjà tous les deux pour l’enseigne ? 
Karen : "Bien au contraire. Même si je trouvais que ces maisons étaient cool, je ne me voyais pas y vivre au départ. J'ai une formation d’architecte. Et pendant mes études, l'accent a été mis sur le minimalisme, la propreté et la modernité. Bien sûr, je voulais la même chose pour ma propre maison, mais j'ai attrapé le virus Mi Casa. Moderne et Mi Casa vont bien ensemble. Nous avons conservé l'atmosphère et la sensation de chaleur, et l'extérieur est épuré et moderne."
Pascal : "En tant qu'architecte, j'avais dessiné moi-même le lotissement Mi Casa à Waregem, mais l’éventualité de l’occuper moi-même un jour ne m’a jamais traversé l’esprit. A l’époque, je voulais rester dans ma ville natale, Bruges. Et un jour, j'ai fait du covoiturage jusqu'à Waregem avec Jean-Luc Lidou, le fondateur de l’enseigne Mi Casa. Et une fois arrivés, autant dire qu'il m'avait déjà vendu la maison (rires). Sur mon bureau, il a déposé un post-it : Lotissement du Smoorken numéro 8 et le prix était noté également." 

Tu as probablement adhéré au concept toi aussi car tu avais déjà une optique moderne de par ta formation.
Pascal : "Au départ, je souhaitais aussi du minimaliste et du moderne, mais je suis tombé amoureux du Smoorken et de l'esprit Mi Casa. Tous ceux qui entrent dans notre maison sont séduits après 2 minutes par l'expérience. Du moderne, je n'en voudrais pas moi-même, je trouve cela bien trop austère. Finalement, j’ai eu envie de revenir à Bruges mais uniquement à condition de construire une maison Mi Casa. Et depuis lors, notre maison Mi Casa située à proximité de Bruges est une réalité. Notre produit est solide comme le roc".
Karen : "Si je devais reconstruire, je me rapprocherais encore plus du style typique de Mi Casa. Cette intemporalité est vraiment une valeur ajoutée."
 

Comment êtes-vous entrés dans la vente ? 
Karen : "Au départ, nous étions tous les deux chefs de projet. Ce contexte technique nous aide à préparer le reste du dossier. Le client en récolte les fruits. Nous ne sommes donc pas non plus des vendeurs typiques. Nous allons vraiment très loin pour nos clients et nous ne sommes satisfaits que lorsqu'ils sont parfaitement en phase avec le plan et le budget."
Pascal : "Grâce à cette expérience, nous avons également une parfaite perception de des souhaits du client et nous pouvons traduire cela en un plan et un prix qui correspondent à l'histoire du client. Nous vendons avec nos tripes, pour ainsi dire. Dans 95 % des cas, notre plan initial est accepté. Dans les cinq pour cent restants, nous pouvons faire des ajustements nous-mêmes. Cela nous demande plus d'efforts, mais c'est précisément à ce niveau-là que nous trouvons notre satisfaction."

Quel est le secret pour ressentir ce que le client souhaite ? 
Karen : "Souvent, un client ne sait pas exactement ce qu'il veut, mais il peut approximativement parler du style qu’il aime ou il nous montre des photos Pinterest. Et en posant les bonnes questions, nous découvrons ce qui est important. Nous dessinons ce que le client lui-même recherche sans pour autant transposer tout de suite ses idées en un plan approprié. Après une seule conversation, je sais déjà à quoi il doit ressembler. Ensuite, nous trouvons comment assembler le puzzle en faisant coïncider les pièces du souhait et celles du budget."
Pascal : "Notre grande force est notre honnêteté. Nous ne trompons personne. Chez Mi Casa, vous recevez une offre claire et nette et vous n'êtes pas surpris par des montants supplémentaires par la suite. Nous nous considérons comme étant personnes de confiance. Nous ne vendrons jamais rien si nous pensons que le client n'est pas fermement convaincu. Il en résulte que lorsqu’on revoit les clients a posteriori, les rencontres sont toujours sincères et chaleureuses."
 

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