"Graçe au boix massif, la force et l'atmosphère du bois sont beaucoup plus apparentes."
Hilde est une personne issue de plusieurs mondes. Elle a travaillé dans le secteur chimique, sur des plateformes de forage, à la KULeuven, en tant que consultante en bâtiment pour Mi Casa et récemment en tant qu'agent immobilier. Le fil conducteur de sa vie ? La passion. En 2001, elle a construit sa première maison avec nous, après quoi Hilde a été conseillère en construction pendant quinze ans (!). Une deuxième maison et un appartement Mi Casa ont suivi. Récemment, Mi Casa a procédé à une transformation complète de sa nouvelle habitation. "Mi Casa continue de donner l'impression de rentrer à la maison."
Hilde, comment avez-vous connu notre entreprise ?
"En 2001, nous voulions construire. La recherche du partenaire idéal a été longue. Je voulais une maison en bois. Nous avions déjà été en contact avec deux constructeurs de maisons à ossature bois, puis un ami nous a conseillé Mi Casa. Lorsque j'ai visité la maison témoin, j'ai été immédiatement convaincue. J'ai regardé autour de moi et j'ai pensé : c'est ça que je veux. Je me suis sentie apaisée. Un vrai coup de foudre".
Alors qu'est-ce qui a fait la différence ?
"La finition. Chaque détail compte. À l'époque, il existait également d'autres constructeurs en bois massif. La qualité était peut-être similaire, mais le style de Mi Casa était et reste inégalé. Le souci du détail est unique dans le secteur. Chaque membre du personnel s'y met à trois cents pour cent. On peut vraiment ressentir la passion.
Avec vous, c'était certainement le cas. Vous étiez tellement convaincue que vous vouliez devenir consultant.
"Lorsque nous avons construit avec Mi Casa, je travaillais comme professeur de chimie à la KULeuven. Avant cela, j'occupais un emploi technico-commercial dans l'industrie pétrolière. J'ai travaillé sur des plateformes de forage. Une vie internationale pleine d’aventures. J'ai vécu dans des avions et des hôtels. Quand j'ai eu des enfants, j'ai changé de travail. J'ai commencé à enseigner, mais l'aspect technico-commercial me manquait. Je l'ai retrouvé chez Mi Casa.
Lorsque nous venions d'emménager dans notre toute nouvelle maison Mi Casa, je me suis réveillée en sursaut au milieu de la nuit. Une idée m’a traversé l’esprit ; je veux travailler pour Mi Casa.
Comment avez-vous eu cette idée ?
"Alors que nous venions d'emménager dans notre nouvelle maison, je me suis réveillée au milieu de la nuit. Je veux devenir consultante", me suis-je dit. Le lendemain matin, j'ai téléphoné à Jean-Luc Lidou, le directeur de l'époque. Je lui ai dit de manière très convaincante que je voulais travailler pour lui, et il a répondu en riant : "Tous les jours, je reçois des dizaines de candidatures de ce type". J'étais complètement désabusée, mais environ trois mois plus tard, j'ai reçu un appel téléphonique m'informant que je pouvais finalement commencer."
Pourquoi étiez-vous si désireuse de travailler pour nous ?
"L'aspect technico-commercial m'attirait. Je m’étais chargée de la gestion du site pour ma propre maison. J'ai toujours été intéressée par la façon dont les choses s’assemblent ou comment elles fonctionnent. Je creuse la question jusqu'à ce que je maîtrise les choses de fond en comble. Jean-Luc avait questionné le chef de chantier de ma maison et ce-dernier l'avait assuré : si Hilde met autant d'énergie avec ses clients qu’avec sa propre construction, alors ça ne peut que bien se passer."
Un défi ne vous effraie pas, n'est-ce pas ?
"C'est ce qui rend la vie excitante. Il y a trop peu d'heures dans une journée. J'ai envie d'une vie pleine d’aventures dans laquelle j'apprends. Je suis aussi une vendeuse atypique. Ce n'est que lorsque je suis convaincue de l'histoire technique que je peux me lancer à fond dans l'aventure. Ce tableau correspondait totalement à Mi Casa."
Et alors vous vous êtes complètement lancée dans l’aventure. Vous étiez un consultant à succès.
"J'ai utilisé ma propre maison Mi Casa comme maison témoin. Il y avait des visites presque tous les jours. Pour mes enfants, il était évident que leur chambre devait être parfaitement rangée. Parfois, je me sentais presque coupable d'être si stricte à ce sujet. Aujourd'hui encore, je crois fermement à la qualité de Mi Casa."
Vous avez même construit une deuxième fois avec nous.
"Une histoire étrange. Il y avait un terrain à bâtir à côté de notre maison à l'époque. Nous ne voulions pas que notre point de vue disparaisse. Nous avons alors eu l'idée d'investir en achetant le terrain mais le coût était si élevé qu'il n'était plus possible d’y construire quoi que ce soit. Jean-Luc a alors planté une graine : pourquoi ne pas vendre votre propre maison et en construire une nouvelle à côté ? Il s'est avéré que ce n'était pas un mauvais plan. Mi Casa venait de passer à un nouveau système de construction. J'avais donc ainsi une maison témoin toute neuve et techniquement à jour. Ce fut un très grand succès.
"Vous pouvez ressentir l'amour du bois et de l'entreprise auprès de chaque membre du personnel Mi Casa. Ils sont investis à trois cents pour cent."
Comment avez-vous combiné votre travail de consultante pour Mi Casa avec votre emploi à la KULeuven ?
"J'avais un emploi à plein temps à la KULeuven et je travaillais pour Mi Casa en parallèle. Cela devenait trop intensif. J'ai donc choisi d'être maître de conférences à temps partiel. Lorsque cette situation est également devenue intenable, je suis devenue complètement indépendante et j'ai travaillé exclusivement comme consultante. Pendant ces quinze années, cela m'a toujours fascinée."
Quelle est la différence entre une construction en bois massif et une construction à ossature bois ?
"Avec une construction à ossature bois, on ne ressent pratiquement pas le bois. Une telle maison ressemble plus à une maison standard. La construction en bois massif est beaucoup plus exclusive. Sur le plan esthétique, la force et l'atmosphère du bois sont beaucoup plus apparentes. Vous avez l'impression de vivre dans une maison en bois. C'est plus unique."
Finalement, vous vous êtes séparée de votre deuxième maison Mi Casa.
"Tout à fait par hasard, nous sommes tombés sur un vieux domaine équestre qui était à vendre. L'emplacement était unique. La maison un peu aussi mais pas du tout mon style. Rien à voir avec l’impression Mi Casa. Pourtant, nous avons estimé qu'il s'agissait d'une occasion à ne pas manquer, même si nous avions quelques petits doutes. L'atmosphère de Mi Casa n’allait-elle pas trop me manquer ?
Vous avez donc décidé de faire un relooking ?
"Je craignais d'avoir du mal à m'intégrer sans cette touch de bois. Nous avons donc vidé totalement la maison et redécoré. En fait, il ne restait pas grand-chose d'autre que les murs extérieurs et une partie de l'aménagement. Dans notre dernière maison Mi Casa, nous avions une mancave en bois de grange. C'était mon endroit préféré dans la maison. Je voulais vraiment intégrer ce matériau dans notre nouvelle maison. C’est finalement le coin télé que nous avons entièrement réalisé en bois de grange."
Pourquoi êtes-vous tellement attachée au bois de grange ?
"Cela crée une ambiance américaine, une sorte de sentiment de 'Far West'. Je suis une grande fan des États-Unis. Mon fils est né là aussi, d'ailleurs. Pendant des années, j'ai travaillé en tant qu’expatriée au Texas, l'État des cow-boys. Grâce à l’utilisation du bois de grange, j'ai pu incorporer cette atmosphère dans ma maison."
Notre service de personnalisation Colección a-t-il apporté la Mi Casa-touch à votre maison traditionnelle ?
"Assurément. Félicitations à toute l'équipe. Mes anciens collègues sont venus sur place et nous ont activement aidés à concevoir un résultat parfait. Il n'est pas facile de meubler une maison existante entièrement comme imaginé au départ, mais cela s'est avéré exactement comme je l'avais prévu. Cela montre les connaissances et les compétences de Mi Casa Colección".
De quelles pièces êtes-vous la plus fière après transformation ?
"Le salon.
"Dans le salon, nous avons travaillé avec du bois Tonosho. Il existe une technique japonaise qui donne au bois un aspect carbonisé. Je l'avais vu dans un magazine et j'en étais folle. J'ai demandé à Sophie, l'architecte d'intérieur, de le trouver. Elle me l'a déconseillé, car il libère beaucoup de saleté, mais il est beau à regarder."
"Le coin télé."
"Pour le coin TV, nous avons travaillé avec du bois de grange. C'est ainsi que nous avons créé un style saloon unique. Une anecdote amusante : lorsque j'ai utilisé pour la première fois du bois de grange dans ma maison, le personnel de Mi Casa pensait qu'il s'agissait de déchets de bois. J'ai dû leur téléphoner en urgence pour leur dire de ne pas mettre le bois dans le conteneur (rires)."
Mi Casa ne vous laisse clairement jamais partir. Pas même maintenant dans votre dernière reconversion en tant qu'agent immobilier.
"Je voulais me mettre au défi une dernière fois. C'est un monde commercial et juridique, mais il me fascine de me l’approprier. Il y a également un dernier projet en préparation avec Mi Casa. À Neerijse, nous allons réaliser ensemble un quartier résidentiel. En tant qu'agent immobilier, je serai conjointement responsable de la vente. Je suis convaincue qu'il s'agira d'un véritable succès. Mi Casa a été un coup de foudre. Le cercle est maintenant bouclé.
Souhaitez-vous passer la nuit dans le Airbnb de Hilde?
Quelques photos du AirBnb de Hilde.