Maison témoin à Hansbeke.

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"Nous vivons dans la maison de nos rêves"

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Simon De Meulemeester & Billie Bentein

La chanteuse Billie et Simon sont les fiers propriétaires de l'ancienne maison témoin de Waregem.

En 2012, après un succès mondial avec leur tube ‘We can only live today’ (Puppy), la chanteuse Billie Bentein a fait le tour du monde avec Netsky. Aujourd'hui, elle a mis entre parenthèses sa carrière de chanteuse solo et chante principalement en fond sonore avec les grands artistes belges. Elle a trouvé le bonheur dans sa famille. Avec son compagnon Simon et leurs deux enfants, elle vit dans notre ancienne maison témoin à Waregem. "Notre maison est si confortable que les personnes qui y entrent ne veulent plus partir."

Billie, tu as grandi dans une maison en bois massif. Cela a-t-il eu une influence quant au choix d’une habitation Mi Casa ?
Billie : "Pas nécessairement. Il est clair qu’on réalise à quel point c'est chaleureux et confortable. Une telle maison n'est jamais froide. En fait, nous sommes en quelque sorte tombés dessus par hasard pendant notre recherche. Nous vivions à Gand. Nous n'avons cherché que pendant deux semaines quand nous avons appris que la maison témoin était en vente".
Simon : "Je n'avais jamais entendu parler de Mi Casa, mais il me serait extrêmement difficile de faire marche arrière. Une fois qu'on s'est habitué à ces structures en bois, on n'a plus envie de s’en passer. Toutes les personnes qui nous rendent visite trouvent que c'est super confortable. Les gens ne veulent plus partir. Vraiment dingue".

Comment avez-vous connu Mi Casa ?
Billie : "Mes parents sont de très bons amis de Jean-Luc et Claudine, qui étaient les managers jusqu'à il y a peu de temps. Lorsque j’étais petite, nos familles ont même fait un voyage en Espagne ensemble, nous sommes donc très liés. C’est grâce à mes parents que nous avons appris que cette maison allait être mise en vente.

Quelle a été votre impression lors de votre première visite ?
Simon : "Ca a été très clair dans notre esprit tout de suite : il fallait que ce soit celle-là. Nous avons eu une chance incroyable, une telle maison n’est généralement pas disponible sur le marché".
Billie : "Le sentiment que nous avons éprouvé peut se résumer en un mot : waouw. Une maison Mi Casa n'est pas une maison, c'est un foyer. Le déménagement a eu lieu très vite".
Simon : "La seule chose que nous avons eu à faire a été de mettre nos sous-vêtements dans le tiroir. (rires). A ce jour, nous n'avons pas regretté notre choix une seule seconde. Tous les jours, je me réjouis de rentrer à la maison".

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"Le sentiment que nous avons éprouvé peut se résumer en un mot : waouw. Une maison Mi Casa n'est pas une maison, c'est un foyer."

Billie Bentein.

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"Le sentiment que nous avons éprouvé peut se résumer en un mot : waouw. Une maison Mi Casa n'est pas une maison, c'est un foyer."

Billie Bentein.

Quels sont, selon vous, les points forts de Mi Casa ?
Billie : "C'est un style en soi. Une maison Mi Casa, c’est comme comme ça. C'est aussi un tableau d'ensemble. Lorsque vous regardez les maisons Mi Casa en ligne, vous pouvez également voir celles qui ont été décorées par Mi Casa Colección. Je pourrais même mettre de côté mes propres goûts et dire : vous avez carte blanche. La déco est toujours très classe.
Simon : "Il n'y a pas de place pour l'erreur. Cette maison témoin était autrefois la carte de visite de l'entreprise. Lorsque nos amis - des menuisiers - sont entrés ici pour la première fois, ils sont restés bouche bée. Cela nous rend très fiers".

Les personnes intéressées peuvent toujours visiter votre maison aujourd'hui. Pourquoi faites-vous cela ?
Simon : "Nous le faisons avec plaisir. Quand une personne est intéressée par Mi Casa, il est utile de pouvoir visiter une maison déjà occupée. C'est aussi amusant pour nous. Nous sommes vraiment fiers de notre maison".
Billie : "C’est une façon de garder sa maison dans un bel état. Chaque fois que les gens passent, notre maison est là comme dans les livres. Simon est très soigné, pour lui c'est doublement agréable".

Est-ce que c'est moins le cas pour vous ?
Billie : "Pour moi, il doit y avoir de la vie dans une maison. Quant à Simon, il veut qu'elle ressemble à une maison témoin tous les jours. C'est son monde idéal. Moi, j’aime bien me planquer sous ma couverture". 
Simon : "Pour moi, ce n’est pas si terrible que ça."
Billie : "Oui, c'est vrai. (rires) Il préfère ranger, alors que moi, je suis plus vite prête à dire que les fenêtres doivent être lavées".
Simon : "Nous avons même prévu un mot de vocabulaire pour cela. Je suis plus ordonné, tandis que Billie est plus propre".

Comment vous êtes-vous rencontrés ?
Billie : "Par l'intermédiaire de sa soeur Stephanie, elle est chanteuse également et nous a poussés l’un vers l’autre. Sans son aide, nous ne serions peut-être jamais devenus un couple, nous ne sommes pas vraiment des chasseurs. Je ne sais pas si nous nous serions donné autant de mal". 
Simon. "Elle était notre entremetteuse personnelle. Bien que notre relation n'ait pas toujours été facile. Très tôt, Billie a enregistré son grand tube "We can only live today (Puppy)" avec Netsky. Elle a ensuite entamé sa tournée dans le monde entier".

Comment cela s'est-il passé ?
Billie : "Nous avons dû nous faire confiance tout de suite. Quand vous êtes en tournée, vous êtes dans un train qui ne s'arrête pas. Le rush. À ce moment-là, je n'ai pas non plus réalisé ce qui se passait. J'avais des taches sur mon corps à cause d'un excès d'alcool. Je ne buvais pas exagérément, mais c'était trop pour moi. Nous ne nous produisions souvent qu'à 2 heures du matin. Il faut rester éveillé, se mettre dans l'ambiance... La vie dans un bus de tournée est assez rock 'n' roll."

Vous étiez presque exclusivement entourée d'hommes, c'était bien ? 
Billie : "Je m'entends toujours mieux avec les hommes. J’étais toutefois en compagnie d’une autre femme : Diane Charlemagne. Elle m'a protégée de toute cette violence masculine. Malheureusement, elle est décédée d'un cancer. C'était vraiment une grande chanteuse. Je suis heureuse de l'avoir connue et d'avoir pu apprendre beaucoup d'elle. Heureusement, j'ai pu lui dire au revoir".

Vous avez même participé à Coachella, l'un des plus grands festivals du monde.
Billie : "Je ne savais pas ce que c'était. Je n'en avais jamais entendu parler. Ce n'est que des années plus tard que j'ai compris l’ampleur de ce festival. Si c’était à refaire, j'en aurais profité davantage au lieu de m'imposer cette quête de performance. Toutes les chanteuses aimeraient vivre une telle tournée. Je peux cocher cette case, ça me donne une certaine tranquillité mentale".

Pourquoi avez-vous cessé d'être la chanteuse principale ? 
Billie : "Je n'aime pas les projecteurs, je me sens mieux en arrière-plan. En fait, mon travail ne correspond pas à mon personnage, mais j'aime trop la création. Je suis un auteur-compositeur-interprète, cela me rend heureuse. Mais pas sous la pression d'une maison de disques". 

Avez-vous remarqué que cela lui pesait, Simon ? 
Simon ? "Oui, et elle ramenait ça à la maison. Cette incertitude a pesé. Elle est perfectionniste dans son travail". 
Billie : "Simon m'a aidée à choisir mes singles. J'ai une formation professionnelle, donc parfois je voulais rendre les choses trop difficiles. Alors que lui, il écoutait avec l'oreille d'un commercial".
Simon : "J'étais plus à même de prédire si ça allait être un tube potentiel. Billie avait son propre son".
Billie : "Il est difficile de qualifier ce style. Je l'ai appelé New Pop : poppy, mais avec une touche de technovibe".

"2019 sera sans doute l'année de Billie Bentein", a écrit un journal. Qu’en pensez-vous ?
Billie : "Eh bien... Sur le plan personnel, il est vrai que ça a été mon année. Je me suis trouvée vers l'âge de 30 ans. J'étais dans un creux à l'époque. J'ai commencé à chercher ce qui me rendait vraiment heureuse. Ma carrière aurait pu commencer en 2019 avec mon nouvel album, mais je venais de donner naissance à Miller et j'ai moi-même débranché la machine. C'est mieux ainsi. Je suis beaucoup plus heureuse en tant que chanteuse indépendante maintenant".

La vie vous sourit, car votre deuxième fils est né en juillet. 
Simon : "Collin, un petit frère pour Miller. Nous avons délibérément opté pour une petite différence d'âge, nous espérons qu'ils profiteront beaucoup l’un de l’autre. En fait, nous étions vraiment prêts pour avoir des enfants".
Billie : "Dès que nous sommes arrivés ici, nous avons eu le sentiment que quelque chose manquait. Nous aimons notre vie telle qu’elle est maintenant".

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Quand une personne est intéressée par Mi Casa, il est utile de pouvoir visiter une maison déjà occupée. C'est aussi amusant pour nous. Nous sommes vraiment fiers de notre maison."

Simon De Meulemeester

Simon, toi aussi tu as un travail spécial.
Simon : "Je suis vendeur de tapis faits main. Pendant sept mois, deux personnes travaillent sur un tapis. Il y a un prix à payer pour cela. En moyenne, un tel tapis coûte 10 000 euros. Il est d’une très grande qualité. Nous travaillons souvent avec des architectes d'intérieur et nous commercialisons dans tout le monde".

Je suppose que vous attachez beaucoup d'importance à la qualité alors ? 
Simon : "Cela fait partie intégrante de mon travail. Lorsque les gens dépensent autant d'argent pour un produit, il doit vraiment être de grande qualité. Quand j'achète quelque chose, il faut que ce soit vraiment bien".
Billie : "Il peut aller jusqu’à patienter pendant cinq ans, pour ainsi dire, avant d’acheter un lave-vaisselle, mais dans ce cas, il faut qu’il soit de qualité supérieure. C'est une question de perfectionnisme".
Simon : "C'est pourquoi je me sens si bien avec Mi Casa. Tout est de qualité supérieure. Si jamais nous devions construire à nouveau, c'est certain que ce serait avec Mi Casa".

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