Maison témoin à Hansbeke.

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"J'ai vu des centaines de maisons Mi casa, mais elles sont toutes uniques"

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Gaëtan Bonot.

Le peintre en bâtiment, Gaëtan Bonot, a appris à peindre pendant son service militaire.

Gaëtan Bonot travaille comme sous-traitant pour Mi Casa depuis 23 ans. Ce Flamand de Flandre occidentale âgé de 50 ans a appris à peindre pendant son service militaire en Allemagne. "C'était une façon d'échapper à un régime strict." Ce qu'il ne savait pas, c'est que le virus de la peinture ne le lâcherait plus. Bonot est un tel artisan qu'il a même gagné des prix et des récompenses grâce à son travail. 

Gaëtan, la façon dont vous êtes devenu peintre est atypique.
Gaëtan Bonot : "On peut dire ça. À dix-huit ans, j'ai fait mon service militaire en Allemagne. J'étais alors dans un régiment très lourd et très strict. À un moment donné, j’ai vu un petit bout de papier accroché dans le couloir du personnel disant qu'ils cherchaient des peintres, des maçons et des menuisiers. J’avais deux meilleurs compagnons ; l’un était maçon et l’autre menuisier. Ils sont partis pour un autre bataillon et soudain, je me suis retrouvé tout seul. Je n'ai donc rien trouvé de mieux à faire que de m'inscrire en tant que peintre".

Plus de trois décennies plus tard, vous maniez toujours le pinceau. Vous vous attendiez à cela ?
"Pas une seconde. Je suis entré dans ce monde grâce à l'armée. Quand je suis revenu en Belgique, j’ai cherché du travail dans ce secteur. Plus tard, j'ai repris l'affaire de mon patron. Je ne l'ai pas regretté une seule seconde. Je voulais acquérir ma propre vision des choses".

En quoi consiste cette vision ?
"Je suis très souple. J’offre un large éventail de compétences. Je peux faire plus qu'un peintre moyen. Cela va au-delà de la simple peinture d'un mur. Je peux remplacer une partie du plafond, installer l'électricité et aussi le servir d’anciennes techniques de peinture, le vrai métier. J'ai appris tout ce qu'il y avait à faire sur le tas en observant. Essayer par tâtonnements. L'armée m'a appris à être ouvert à la nouveauté et à persévérer".

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Un gros oeuvre Mi Casa rayonne déjà de chaleur. J'ai toujours cette impression de vacances en peignant". 

Gaëtan Bonot.

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Un gros oeuvre Mi Casa rayonne déjà de chaleur. J'ai toujours cette impression de vacances en peignant". 

Gaëtan Bonot.

Quel regard portez-vous sur ce service militaire ?
"Il m'a aidé pour le reste de ma vie. On apprend à tirer son plan et à se discipliner. On suait de grosses gouttes pendant la nuit. On était largué quelque part, en pleine nuit, privé de sommeil. On avait une carte et une boussole et on devait se rendre à un point donné en 24 heures. Si on échouait, on était largué à un autre endroit jusqu’à ce qu’on y parvienne. Ou bien on devait attendre. Une nuit, on a marché pendant une quarantaine de kilomètres. Les personnes les plus lentes à l'avant tandis que les plus rapides à l'arrière accéléraient littéralement la cadence. Croyez-moi, il fallait continuer à marcher."

Où étiez-vous ?
"Juste devant. Juste parce que j'aimais être placé devant. L'armée a été une formation accélérée pour devenir adulte. Je déplore que les jeunes n’aient plus l’occasion de vivre cette expérience. Si un jeune a un problème, il s’empresse d’aller demander de l'aide à ses amis ou d’avoir recours à Google Maps. En tant que peintre, j'ai peut-être fui le régime strict, mais j'y repense avec nostalgie". 

Quels sont les trucs et astuces pour quelqu'un qui ne connaît rien à la peinture mais qui veut quand même se servir d’un pinceau ?
"Il n'y a qu'un seul bon moyen. N'essayez pas de faire des économies ni sur le matériel ni sur la peinture. C’est déjà un pas dans la bonne direction. Si vous utilisez un primaire bon marché, soyez prêt à mettre de la meilleure peinture dessus, cela ne vous aidera pas. Pour peindre vraiment bien, il faut être passionné".

À quoi ressemble un jour de semaine ?
"Lever à 4h30, partir à 5h15 et rentrer à la maison entre 19h et 20h. Je n'ai pas beaucoup de repos. Le samedi, je fais du service après-vente pour Mi Casa et le dimanche, je m'occupe de l'administration. C’est de mon travail que je tire la plus grande satisfaction. Quand je suis occupé, je perds toute notion du temps. Il me faut moins d'une minute pour partir à mon travail. Il m'est également difficile de lâcher prise. Je dois prendre l'avion pour avoir des vacances".

Pourquoi ?
"Quand je suis en voiture, je n'ai pas l'impression d'être en vacances. Je ne me laisse pas assez aller. Une fois, je suis rentré de vacances trois jours plus tôt que prévu parce que je voulais aider mon client. J'étais à Denia (Costa Blanca) pour dix jours lorsque j'ai reçu un appel téléphonique d'une station de carwash située à Ruddervoorde m'informant que le matériel avait été livré plus tôt que prévu. Dans ma tête, je me suis dit alors : "Supposons que je n'aie pas fini le travail à temps, alors ce sera de ma faute si les travaux sont retardés". J’ai donc sauté dans ma voiture j’ai conduit d’une seule traite pendant seize heures jusqu’à chez moi pour commencer le lendemain dans cette station de carwash". (sourires)

Vous êtes donc un bourreau de travail.
"C'est un travail tellement fascinant. On passe de rien à quelque chose. Prenez l’exemple d’une maison Mi Casa. En fait, vous arrivez dans un "chalet" et quand vous repartez, c’est devenu une maison bien finie. Beaucoup de gens pensent que peindre, c’est peindre. Une construction traditionnelle peut être monotone, mais une maison Mi Casa est beaucoup plus spéciale. Le tableau est beaucoup plus complexe en raison des nombreuses poutres".

Vous vous souvenez de votre premier job pour Mi Casa ?
"Comme si c'était hier. Je devais peindre un pool house à Eigenbrakel. Ce jour-là, je suis entré dans une maison Mi Casa pour la première fois et je m’y suis senti bien. Même le gros oeuvre rayonne de chaleur. En peignant, je ressens encore une sorte de sentiment de vacances".

Vous pouvez expliquer?
"Quand on entre dans une maison Mi Casa, c'est douillet. Mi Casa, c’est juste quelque chose de spécial. Je n'ai jamais entendu personne dire : "Je vis dans un Tradiplan. Les gens disent : "J'ai construit avec..." Alors qu'avec Mi Casa, on dit :”Je vis dans une maison Mi Casa. C'est tout dire. C'est une grande satisfaction pour moi d'être devenu le peintre en bâtiment habituel".

Un peintre doit-il être perfectionniste ?
"Sans vouloir être arrogant, je dirais que je veux que ça se passe bien. Est-ce pour cela que je suis perfectionniste ? La perfection n'existe pas, mais Mi Casa l'atteint presque (sourires)".

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Il n'y a pas de mots assez forts pour décrire le feeling Mi Casa".

Gaëtan Bonot.

Entre-temps, vous avez déjà peint des centaines de maisons Mi casas. Qu'avez-vous remarqué ?
"Qu'elles sont toutes uniques. En 23 ans de service pour cette entreprise, je ne suis jamais tombé sur la même maison. Chaque maison Mi Casa a sa propre âme. Quant à la peinture, j’ai attrapé le virus et il ne m'a jamais lâché. J'ai mis un terme à mes contrats avec d’autres entreprises de construction. Rien ne vaut Mi Casa".

Comment avez-vous vu l'évolution de la société pendant ces 23 années ?
"Le style, la chaleur et l'individualité sont toujours restés. Mi Casa est synonyme de qualité. J'ai vu grandir Thibo Lidou, l'actuel directeur. Ses parents peuvent être fiers de ce qu'il a déjà accompli. Il a investi dans de nouvelles techniques. Grâce à ses innovations, il a donné un second souffle à l'entreprise".

Si vous devez décrire Mi Casa en trois mots, vous diriez...
"Confortable, correct et innovant. Prenez Selección. Il y a un plan de départ fixe avec lequel vous pouvez jongler. Et ce n’est pas un travail en série, je n'en ai jamais vu deux identiques. Je remarque que les gens associent encore Mi Casa à un budget hors de portée. Une habitation que seuls les nantis peuvent se permettre, alors que Selección rend le projet plus abordable pour le grand public, sans sacrifier la qualité pour autant". 

Pensez-vous qu’il existe des préjugés sur les maisons en bois ?
"Oui, certainement. Et c’est souvent injustifié. Les gens comparent le bois à une branche, qui est fragile. C'est parce qu'ils ne sont pas informés. De plus, ils ne voient que les "inconvénients". Les types de bois les plus chers du monde sont également concernés. Le bois vit, c'est clairement ce qui donne du charme à une habitation".

Votre travail peut être admiré dans plusieurs maisons témoins.
"Une telle maison témoin est la carte de visite de l'entreprise. Je suis très fier de pouvoir contribuer à sa construction. Lorsque j'entre dans une maison témoin, il m’arrive encore de me sentir époustouflé. C'est la raison pour laquelle j'ai fini par acheter une maison Mi Casa pour moi-même".

Cela vous fait quelque chose de posséder une maison Mi Casa.
"Ça me rend mega fier. Il y a une âme dans une ancienne maison témoin. Je n'avais jamais ressenti le besoin de ‘rentrer à la maison’ après le travail. Depuis que je vis dans une maison Mi Casa, c'est le cas. Dès que j'y entre, je me sens à l'aise. J'ai vécu dans cinq maisons différentes et c’est la première fois que j’éprouve ce ressenti".

"

Je suis toujours époustouflé quand je visite une maison témoin Mi Casa."

Une autre fierté : vous avez gagné des prix et des reconnaissances en tant que peintre.
"J'ai participé à des concours professionnels pour, par exemple, des imitations de marbre (voir photo). On commence par une planche de bois, qu’on enduit ensuite de mastic de telle sorte qu’on a l'impression qu'il s'agit d'une tablette de marbre antique. Je suis passionné par la création de ces nuances. J'ai décroché six diplômes et j'ai terminé premier dans l'un de ces concours. J'ai reçu des mains du ministre Peeters la médaille d'or de l'Ordre de Léopold".

Une reconnaissance pour l'un des rares peintres qui maîtrisent encore ce métier.
"Avant, les peintres se spécialisaient souvent dans l'artisanat. Les peintures ou les imitations. Tous mes professeurs sont morts. C'est une profession en soi et elle appartient tout simplement au secteur de la peinture. On apprend à travailler de manière plus minutieuse et la peinture permet d’avoir un aperçu de la construction des bâtiments. Elle peut être parfaitement intégrée dans les intérieurs. Si cet artisanat devait devait disparaître, le le regretterais".

Quels sont vos objectifs de vie à ce stade ? 
"J’aimerais faire passer ma peinture à un niveau supérieur. Je travaille déjà avec des peintures écologiques qui purifient l'air et laissent la maison respirer. Mon travail de peinture sera toujours effectué à la main, je n'aime pas l'artificiel. Cela dit, je cherche des moyens pour rationaliser le processus. En outre, je souhaite travailler avec Mi Casa pendant de nombreuses années encore. Chaque fois que nous arrivons sur un chantier, c’est spécial. Une maison isolée, avec de belles vues... C'est ce qui rend le travail si agréable".

Notre slogan est the warm charm of wood. Décrit-il le feeling Mi Casa ?
"C'est ce qui s'en rapproche le plus. Il n'y a pas de mots assez forts pour décrire le feeling Mi Casa. Une maison Mi Casa comme ça, c'est et ce sera toujours quelque chose de spécial. Même après 23 ans".

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